Occuper un logement suppose de se prémunir contre plusieurs risques, et les logements étudiants n’y font pas abstraction. Vous êtes étudiant et n’y connaissez rien en assurance habitation ? Pas de panique, nous vous expliquons ici comment procéder pour une vie étudiante sereine sur le plan du logement.
Où trouver une assurance habitation étudiant ?
Plusieurs organismes proposent des formules spécialement dédiées aux étudiants, comme les assureurs ou les organismes bancaires. Par exemple, la société générale assure les habitations des étudiants à l’aide de contrats dédiés aux jeunes : ils comprennent les garanties essentielles comme le bris de glace ou le vol tout en étant plus accessibles que des contrats d’assurance habitation classique auxquels souscrivent les personnes actives.
Il est ainsi possible d’être couvert à petit prix, pour moins de 10€/mois. À noter que le tarif va dépendre du type de logement étudiant concerné, les chambres étudiantes pouvant ainsi être assurées pour moins de 4 euros mensuels.
Comment assurer un logement étudiant meublé ?
Ce type de logement ne fait pas l’objet d’une obligation légale en matière d’assurance habitation. Cependant, elle reste vivement conseillée pour être couvert en cas de sinistres. De plus, certains propriétaires sont tout à fait en droit d’exiger que l’étudiant locataire ait souscrit à une assurance habitation ; cette obligation sera alors indiquée dans le bail de location.
Si vous logez dans une chambre chez l’habitant, vous n’êtes pas non plus tenu d’avoir cette assurance puisque c’est le propriétaire lui-même qui est tenu d’assurer son logement, y compris cette pièce. Nous vous conseillons cependant d’être à minima couvert pour votre responsabilité civile personnelle.
Le cas du logement non meublé
Si le logement étudiant loué est vide, alors il devra obligatoirement être assuré par le locataire. En effet, en cas de sinistre dans ce lieu de vie, c’est l’étudiant qui y habite qui sera responsable des dégâts occasionnés sur ce bien et dans l’immeuble de manière générale. La loi impose alors la souscription, à minima, d’une assurance risques locatifs.
Attention, car celle-ci ne couvre que les dommages apportés au logement, mais pas aux voisins ni au mobilier. Il est donc bien plus sécurisant de souscrire à une assurance habitation multirisque pour ce logement étudiant. Vous serez ainsi couvert à titre individuel, le logement, les biens et les tiers le seront également.
La colocation
Très répandue dans le monde étudiant, la colocation permet de réaliser de précieuses économies et d’occuper un logement plus spacieux et plus agréable, sans devoir vivre seul. Il existe alors deux grands cas de figure :
- L’un des colocataires souscrit à un contrat d’assurance habitation (ou il en a déjà un) et déclare les autres occupants du logement en colocation. Le contrat est alors commun et il couvre la responsabilité civile de chaque partie impliquée. En revanche, il ne couvre QUE la responsabilité civile locative (dégâts accidentels causés au logement type incendie). Les colocataires seront vivement invités à souscrire, en supplément, à une assurance responsabilité civile individuelle (pour les dommages causés à un tiers).
- Chaque colocataire souscrit un contrat d’assurance habitation et indique, au moment de la souscription, l’identité des co-occupants du logement étudiant. En cas de départ ou d’arrivée d’un nouveau colocataire, il faudra en avertir l’assureur.
Tout savoir sur l’assurance habitation en logement etudiant
Occuper un logement suppose de se prémunir contre plusieurs risques, et les logements étudiants n’y font pas abstraction. Vous êtes étudiant et n’y connaissez rien en assurance habitation ? Pas de panique, nous vous expliquons ici comment procéder pour une vie étudiante sereine sur le plan du logement.
Où trouver une assurance habitation étudiant ?
Plusieurs organismes proposent des formules spécialement dédiées aux étudiants, comme les assureurs ou les organismes bancaires. Par exemple, la société générale assure les habitations des étudiants à l’aide de contrats dédiés aux jeunes : ils comprennent les garanties essentielles comme le bris de glace ou le vol tout en étant plus accessibles que des contrats d’assurance habitation classique auxquels souscrivent les personnes actives.
Il est ainsi possible d’être couvert à petit prix, pour moins de 10€/mois. À noter que le tarif va dépendre du type de logement étudiant concerné, les chambres étudiantes pouvant ainsi être assurées pour moins de 4 euros mensuels.
Comment assurer un logement étudiant meublé ?
Ce type de logement ne fait pas l’objet d’une obligation légale en matière d’assurance habitation. Cependant, elle reste vivement conseillée pour être couvert en cas de sinistres. De plus, certains propriétaires sont tout à fait en droit d’exiger que l’étudiant locataire ait souscrit à une assurance habitation ; cette obligation sera alors indiquée dans le bail de location.
Si vous logez dans une chambre chez l’habitant, vous n’êtes pas non plus tenu d’avoir cette assurance puisque c’est le propriétaire lui-même qui est tenu d’assurer son logement, y compris cette pièce. Nous vous conseillons cependant d’être à minima couvert pour votre responsabilité civile personnelle.
Le cas du logement non meublé
Si le logement étudiant loué est vide, alors il devra obligatoirement être assuré par le locataire. En effet, en cas de sinistre dans ce lieu de vie, c’est l’étudiant qui y habite qui sera responsable des dégâts occasionnés sur ce bien et dans l’immeuble de manière générale. La loi impose alors la souscription, à minima, d’une assurance risques locatifs.
Attention, car celle-ci ne couvre que les dommages apportés au logement, mais pas aux voisins ni au mobilier. Il est donc bien plus sécurisant de souscrire à une assurance habitation multirisque pour ce logement étudiant. Vous serez ainsi couvert à titre individuel, le logement, les biens et les tiers le seront également.
La colocation
Très répandue dans le monde étudiant, la colocation permet de réaliser de précieuses économies et d’occuper un logement plus spacieux et plus agréable, sans devoir vivre seul. Il existe alors deux grands cas de figure :